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Blabla

entre nous

Interview

Antoine elie

Antoine, nous t'avons découvert lors de la première partie du célèbre groupe Kyo, au Radiant Bellevue (69). Nous sommes tombés sous le charme de ta voix, de tes textes, et de la sensibilité avec laquelle tu nous emportes dans ton monde si torturé et pourtant si magnifique. Tu gagnes de plus en plus le cœur de tes fans et c'est pourquoi nous voulions partager avec les lecteurs de Plumes d'Elle pour qu'eux aussi aient la chance de te découvrir !

1° Ce soir du 7 juin 2018, nous t'avons rencontré sur un ton très humoristique fait de blagues et de taquineries, puis tu as enchaîné sur des textes profonds qui pourraient rappeler le mélodrame théâtrale, pourquoi tant de contraste ?

   

J’aime beaucoup la tension qui peut se créer entre le public et moi… 

Dans mes chansons, j’aborde de façon cathartique des sujets assez lourds et j’adore la sensation déstabilisante que peut créer l’humour au sortir de ça ; comme un sas de décompression qui rappelle qu’au fond, on est tous là ensemble et que tout va bien…

 

2° Pour te présenter un peu, pour ceux qui ne te connaissent pas encore, tu as donc 28 ans, tu es né à Rouen en Haute Normandie, petit tu enregistrais tes premières chansons sur le magnétophone de ton père tout en volant sa guitare, etc... La musique est en toi depuis toujours finalement ? L'appellation « Artiste » te convient-elle ?

   

J’ai entendu quelque-part qu’à la base, les mots « artiste » et « artisan » étaient confondus en un seul et j’trouve cette idée assez belle et juste… 

Si on considère que l’artiste, au même titre que l’artisan, apprend à maitriser les règles du beau pour tenter, à force de labeur, de les faire siennes ; alors je trouve le terme assez touchant et j’essaie d’être à la hauteur de la tâche…

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La musique a ce petit quelque chose de magique et transcendantal qui m’a tout de suite plut… 

Que de « simples » vibrations sonores puissent communiquer autant d’émotions me laisse croire que la vie, si obscure soit-elle, a un sens profond qui nous dépasse tous…

 

3° Chaque chanson est une claque d'émotion qu'on se prend en pleine figure, tes textes semblent sortir du plus profond de tes entrailles, on imagine une enfance torturée, un ado incompris, sans bien évidement tomber dans les clichés. Tu t'inspires de ta vie  ? De tes histoires passées ? Pourquoi tant parler de la mort ? Fait elle partie de la vie selon toi ?

   

J’pense pas être particulièrement à plaindre au niveau de mon enfance… J’ai eu mes deux parents, une soeur, pas de problème d’argent… 

C’est vrai que j’ai toujours eu une réelle sensation de solitude et l’impression qu’une noirceur abyssale était en train de grandir en moi sans que je n’y puisse rien…

Sans rentrer dans les détails, j’pense que j’ai toujours aimé aller taquiner la douleur et brûler de colère, de tristesse, de peur, jusqu’à m’écrouler sous ce que je me fais moi-même subir…

 

J’pense que la mort donne tout son sens à notre existence… Que le défi d’une vie, c’est d’arriver au bout de soi-même et réussir à se dire au revoir avec le sourire…

J’ai aucune idée de ce qu’on fout là mais je suis persuadé que ça a du sens, que tout est beau avec le bon angle de vue et, qu’au fond, tout va bien… 

4° Quelles sont tes influences de toujours, d’aujourd’hui ? Variété, rap...

   

Pendant mon adolescence, j’écoutais énormément l’album « Holy Wood » de Marilyn Manson et « Des visages des figures » de Noir Désir… 

Aujourd’hui, avec les plateformes de streaming, j’ai le vertige à l’idée de tout ce que je ne me laisse pas le temps de découvrir… 

J’essaie d’enrichir mes expériences, du classique au rap, du rock au jazz, en essayant de trouver ce qui peut me parler dans chaque style, en fonction de mon état du moment…

 

5° Pense tu que la musique a un rôle important de nos jours ? Que pense tu des tendances actuelles ?


J’pense que la musique et l’art en général sont d’une formidable inutilité… 

J’veux dire qu’en temps de guerre ou pour reconstruire un monde en ruines, l’artiste est la dernière personne dont on a besoin… 

Et finalement, je trouve ça beau de se dire qu’on travaille depuis des lustres à faire avancer la beauté dans différents états dans le seul but de nous transcender nous-mêmes et, peut-être, nous rendre immortels dans le coeur et l’esprit des autres…

 

J’pense que le milieu de la musique traverse une période de changements majeurs, que ça soit au niveau du modèle économique (depuis l’arrivée d’internet, notamment…) qu’au niveau de l’obsolescence (à mon sens) de plus en plus grandissante de l’idée de « styles musicaux » puisque tout se mélange, tout se confond… 

La tendance est au rap qui se rapproche de la pop et à la pop qui vient draguouiller le rap, etc… La tendance est au mélange et, musicalement, je n’peux trouver ça qu’excitant…


6° Si je prenais ton Mp3 et qu'on écoutait le dernier morceau joué, lequel se serait-ce?

 

Écoute, je regarde ça tout de suite… 

Le dernier morceau que j’ai écouté, c’était « Merde (Outro) » de Josman… J’aime beaucoup c’t’artiste… 

 

7° Nous savons que tu as quelques temps joué dans le métro, que tu as participé à des concours, etc... Peux tu nous en dire un peu plus ?

 

Alors, j’tiens à préciser que je n’me suis essayé au métro que 4/5 fois maximum… 

C’est un travail très dur moralement, il faut beaucoup de cran pour le faire et je n’fais pas partie de ceux qui ont la force d’aller affronter ça régulièrement…

 

Effectivement, dans mon enfance/adolescence, je faisais beaucoup de concours de chant… Outre l’expérience de la scène que ça m’a apporté, ça m’a beaucoup aidé à comprendre ce que je voulais devenir et là où je ne voulais, justement, jamais aller… 

 

8° Si on pouvait ne retenir que quelques dates qui ont été importantes pour toi, les tremplins, les rencontres... Notamment les rencontres avec ton équipe : Luke et Swing, François Rousseau, Fleur Copin et Tina Arena, quelles dates seraient à marquer d'une pierre blanche selon toi ?

 

Evidemment ma rencontre avec mon équipe, il y a 5/6 ans, sans qui je ne serais pas là à répondre à tes questions et à vivre toutes ces choses dingues…

 

Ma rencontre avec Jean-Christophe Bourgeois de chez Sony Publishing qui a rejoint l’aventure l’année suivante…

 

Ma rencontre avec Stéphane Espinosa de chez Polydor qui nous a rejoint l’année dernière…

 

Avoir une de mes chansons sur l’album d’une aussi grande et belle chanteuse que Tina Arena, c’est un énorme cadeau…

 

Le tournage du clip était dingue ! Entre le talent visionnaire de François Rousseau et la grâce torride de Fleur Copin, sans parler de toute l’équipe qui était avec nous, c’était absolument fou…

 

L’expérience de Taratata, avec un Nagui bienveillant et un public adorable, a aussi beaucoup comptée pour moi…

 

Il y a aussi mes premières partie de Kyo, c’était fou ! 

Déjà, ma soeur et moi on écoutait beaucoup leur album « le chemin » à sa sortie, c’qui donne une sensation de boucle qui se referme, et j’ai pu prendre le tour-bus avec eux, c’qui a été une des expériences les plus Rock N’Roll de ma courte vie…

 

Raaah c’est frustrant, j’pourrais continuer des pages entières… Ces dernières années étaient vraiment denses en émotions…

 

9° Quels sont tes plus beaux souvenir de concert ? Et les pires ? As tu quelques anecdotes à nous mettre sous la dent ?

     

Mes pires expériences de la scène sont les premières, essentiellement… 

J’comprenais pas ce que je ressentais, ce que je faisais là, j’avais l’impression de commettre un suicide à chaque fois que je rentrais dans le noir devant tous ces inconnus… Puis au fur et à mesure, je crois que j’ai commencé à mettre le doigt sur des évidences ; des sensations de partage et d’harmonie qui sont devenues essentielles…

 

J’ai eu l’honneur de faire la première partie de Michel Jonasz et c’était vraiment puissant à vivre… Les premières parties de Kyo aussi, avec un public en émoi, le coeur ouvert, qui m’a accueilli avec beaucoup de chaleur…

 

Ma date au Café de la danse aussi qui était ma première expérience scénique de groupe, avec Wissem Larfaoui et Gabriel Lemasne… Le public était BOUILLANT, j’crois qu’on a tous vécu un truc très fort ce soirlà…

 

10° Pour finir, parles nous de ton nouvel EP éponyme, Antoine Elie. As tu déjà des idées, des projets pour la suite ?

 

J’suis très fier de cet Ep… Entre le travail visuel, en collaboration avec François Rousseau par le biais de Laura Duchesne chez Polydor et le travail de mix par Robin Florent et de mastering par Alex Gopher, le tout chapoté par un Stéphane Espinosa assez visionnaire quant aux titres les plus pertinents à exploiter et les photos pour la pochette… J’trouve qu’on ressent vraiment la symbiose que tout ce beau monde a traversé pendant sa fabrication et ça me réchauffe le coeur d’être à l’épicentre de tout ça…

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 En ce moment, c’est l’étape des mixs et mastering des titres de mon album par les mêmes Robin et Alex que l’Ep… Je suis comme un gosse à recevoir tout ça et me prendre dans la gueule leur travail sur nos chansons… J’ai vraiment hâte de pouvoir partager tout ça avec ceux à qui ça parlera…

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 J’essaie de pas trop me projeter mais je sens pas mal d’idées bouillir dans mon subconscient et j’ai hâte que le temps vienne de les mettre à profit du projet…

Je tiens à remercier Antoine, pour son implication dans la rédaction de cet article. Je le remercie également pour sa gentillesse et son accessibilité, les réponses rapides et si précise, sans oublier son équipe marketing et un merci tout particulier à Nina Veyrier sans qui cet article n'aurais pas vu le jour. Je me sens très honoré d'avoir eu cette interview exclusive. N'hésitez surtout pas à suivre Antoine Elie sur les réseaux !
Amour sur vous !

Plumes.

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Confessions

Je reviens ce soir pour vous parler ouvertement, comme je le fais depuis le début mais encore plus personnellement !


Tout d'abord, je dois m'excuser pour le temps que je mets à écrire les articles. Il est vrai qu'en ce moment je suis extrêmement occupée entre mon déménagement et ma reprise d'étude, etc... Mais patience ! Tout arrive à point à celui qui sait attendre !


Ce soir, j'ai réalisé que malgré le peu de monde qui me lisait, certains d'entre vous sont très présent et me soutienne dans mon projets d'écriture et de tenue de ce blog. Il n'est peu être qu'un lien pour un site internet pour vous, mais pour moi il est un peu comme un journal "intime", un lieu ou je laisse une trace de moi dans le temps, un lieu ou je peux m'exprimer au gré de mon envie...

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C'est en tirant au sort le nom du gagnant du concours qu'il y'avait sur la page instagram de Plumes d'Elle et en voyant sa réaction face à la bonne surprise de ce gain que je me suis rendue compte que mon travail, ma passion et mon envie d'écrire et de créer pouvait faire sourire, rendre heureux les personnes qui m'entours. Et ça, ça fait un bien fou pour le petit cœur tout fragile au creux de ma poitrine.


Je n'ai jamais vraiment eu d'ami(es) sur le long terme, surement dû à mon franc parlé je pense... Je n'ai pas forcément bien vécue mes années scolaires bien que j'aimais l'école ! Mais je me sentais différente. Ni meilleure, ni unique, juste "différentes". Mes camarades de classe se moquaient, m'insultaient, etc... Je sais aujourd'hui que les enfants peuvent être abominablement cruels entre eux, mais à l'époque je ne le savais pas et c'est auprès de mon chat Hugo, que j'ai trouvé le soutient dont on à besoin, venant normalement d'un ami, confident...


Voilà pourquoi, ce soir, je tiens à vous remercier de tout votre soutient, que ce soir lorsque je relève mes statistique de vues ou vos partage sur instagram, vos identifications et vos messages privés. Sachez que si je n'ai pas toujours le temps de vous répondre, je lis chaque mot de chaque ligne. Tout ce soutient pour juste me voir écrire... C'est fou !

Je pense que je n'aurais pas besoin de vous identifier, vous saurez vous reconnaître, chacun amenant une pierre pour bâtir notre édifice,
1000 merci pour tout ça !


Amour sur vous !

Plume

40 Faits sur moi

Comme je vois que vous êtes de plus en plus nombreux à suivre mes aventures, je vous propose de vous dévoiler 40 faits à mon sujet pour que vous sachiez qui se cache derrière "Plume". NE ME JUGEZ PAS !(rire)

#1 Je suis en couple avec un homme adorable.

#2 J'adore les chats, j'en ai eu jusqu'à 5 en même temps !

#3 Je déteste la couleur "vert bouteille".

#4 J'adore chanter.

#5 Je suis extrêmement procrastinatrice (et j'assume !)

#6 J'ai une cicatrice en forme de demi-lune sur le ventre.

#7 J'ai un piercing rose au nombril.

#8 J'ai une tache de naissance sur l'épaule gauche.

#9 Je déteste qu'on me change mes habitudes.

#10 J'ai un odorat sur-développé (à ce qu'il parait !).

#11 Je voue un culte pour les pots et les boites (merci maman !).

#12 Je craque pour tout ce qui est petit.

#13 Je rêve d'une déco nordique/industrielle dans le futur appart.

#14 J'ai peur des poules mais j'en veux 2.

#15 J'appelle ma voiture "Sweeti".

#16 Je déteste la mentalité geek.

#17 Je déteste la mode qui concerne les mangas et les licornes.

#18 Je bois toujours du chocolat chaud.

#19 J'ai une passion pour le jus de pomme.

#20 Mon japonais préféré est le sushi "chez FYFY" de Lyon.

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#21 Je fais de la photo, j'adore ça.

#22 J'ai longtemps tenu une chaine Youtube.

#23 Je suis très moqueuse et aussi rancunière.

#24 Je ne sais pas la fermer !

#25 Je déteste les gens dans le métro et leur impolitesse.

#26 Je déteste l'injustice.

#27 Je laisse toujours mon chéri faire la vaisselle !

#28 Je n'aime pas boire de l'eau (ça fait rouiller).

#29 J'ai commencé à écrire plus de 5 romans...

#30 J'ai des expressions bien à moi telle que "du jus de poubelle".

#31 J'ai peur du bruit du bouchon de champagne.

#32 Je dors avec une veilleuse.

#33 Je suis capable de mettre un coup de pied si on me chatouille.

#34 Je pleure quand il y'a de l'orage.

#35 Je pleure d'ailleurs tout le temps !

#36 Je me suis déjà rendue malade en mangeant 7 kiwis !

#37 J'ai peur qu'il y'ait du chat dans le kebab. (#cliché !)

#38 Je me suis déjà privée de manger pour mes chats.

#39 Mon 1er chat s'appelait Hugo, comme mon chéri aujourd'hui.

#40 Au brevet, j'ai écrit 1940: Christophe Colomb découvre l'Amérique (j'ai eu mon bac par la suite...).

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V'là la gueule du portrait ! J'espère que ce petit article "bonus" vous plaira ! Vous saurez un peu mieux qui je suis à travers mes écris, ce que j'aime et ce que je hais. N'oubliez pas que je reste une personne humaine, qui a notamment beaucoup de défauts. Le principal est de s'accepter comme on est et de ne changer que pour soit ! Peace !


Plume.

Psycho: Le droit du ressenti

Salutation jeune populace ! Aujourd'hui je vous retrouve pour un sujet qui me tiens particulièrement à cœur. A vrai dire, c'est quelque chose, une valeur, que j'ai depuis toujours mais j'en ai pris conscience il y'a peu (d'ailleurs je remercie Zoey, jeune youtubeuse belge qui m'a fais "tilter" la chose).

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En effet, il y'a tout juste 1 mois, j'ai perdu mon chaton. Un petit chat de 8 mois qui vivait avec une malformation cardiaque. Il s'est battu jusqu'à ne plus pouvoir être conscient des choses, c'est à ce moment qu'il nous a fait comprendre qu'il voulait s'en aller, que c'était la fin. Nous avons donc pris la lourde décision qu'est l'euthanasie.
Je ne vous cache pas que les semaines qui ont suivies ont été plus douloureuses les une des autres. 
Et donc, arrive cet état d'esprit un peu particulier dans le quel on se réveille le matin et où l'on passe notre grise journée. Malgré le fait qu'on ai la présence des proches à nos côtés, qu'ils soient famille, amis, collègues... On se sent parfois seul et vidé de la moindre énergie. On ne ressent parfois que de la tristesse. On perd l’appétit et on voudrait écouter que des musiques tristes. 

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Oui je suis passée par des journées aussi sombres et aussi glaciales que les nuits d'hiver, j'en ai vécu des moments difficiles et des périodes douloureuses, et j'en passerais encore ! Et si je vous parles de tout ça, c'est que j'ai remarqué que dans ces moments il y'a souvent des personnes ,qui pense bien faire, qui vous disent ce que vous devez faire, ou ressentir et qui vous dicte une façon d'être. C'est d'ailleurs souvent nos parents ou les personnes qu'on a au plus proche de soi. Cela part très certainement d'une bonne attention et la volonté d'aider quelqu'un qui est en souffrance mais c'est loin de nous aider. "Arrête d'être triste", "Il y a plus malheureux que toi dans la vie" ou encore "Tu as tord d'être blessé(e) pour ça" et tout autres phrases de ce type.


Chacun de nous a le droit de prendre les choses avec son ressenti propre. Et personne n'a le droit de vous dire qui être ou quoi faire sous prétexte qu'on veut le mieux pour vous. Se sentir mal est un droit, et personne ne peut donc vous enlever ce droit et ce, quelque soit la source du mal-être que ce soit un deuil, une rupture ou tout autre de douleur physique et/ou morale. 

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Vous devez parcourir ce processus individuel en toute tranquillité. Il faut savoir et POUVOIR passer par cette phase dépressive pour pouvoir se reconstruire par la suite. Quelque soit le motif pour lequel vous n'est plus vous-même, vous devez accepter de passer différents stades:

  • L'incrédulité : vous refusez de croire  ce qui ne peut être justifié.

  • La colère : là encore, on cherche une explication rationnelle à ce qu'on nous fait subir. On se sent parfois très coupable durant cette phase.

  • L'abattement : c'est le moment de la prise de conscience. On se rend compte de l'absence, lors d'un décès par exemple. C'est une phase de dépression où on peut voir s'installer une culpabilité voir des pensées noires.

  • L'acceptation : C'est la phases où l'on réorganise sa vie.

  • Et enfin l'apaisement : Le mal-être s'estompe, on réapprend à s'ouvrir au monde.

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Bien entendu, ces phases peuvent durer plus ou moins longtemps selon les personnes.
Rappelez-vous que vous êtes unique et que par conséquent personne ne peut vous dire du comment vous devez réagir face aux difficultés de la vie. 


Sur ces notes super positives, je vous dirais "chialez ! Vous pisserez moins".
Bisous les gars !

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